Enfin, j'ai laissé l'écriture faire sa place dans ma vie. Évidemment, je me demande maintenant pourquoi j'ai attendu si longtemps. Et bien sûr je connais très bien la réponse. Maintenant que j'y pense je réalise que j'ai toujours voulu écrire mais je n'ai jamais cru que c'était ma voie puisqu'en me comparant aux autres je considérais tout le monde meilleur que moi. Et à cause de ça, je m'empêchais de laisser aller ma voix. Je suis aujourd'hui convaincue que c'était le chemin que je devais prendre et je crois qu'il aura fallut que je vienne ici à Phoenix pour avoir la possibilité d'explorer cette partie de moi. Les bonnes personnes ont été mises sur mon chemin et je suis capable de saisir les opportunités, je suis capable d'action. Chaque chose s'accomplit en son temps.
Je découvre donc les joies et les défis de l'écriture. Le processus est passionnant et fascinant. Je dois maintenant découvrir à aller encore plus profondément dans les méandres de mon esprit, de ma créativité. Je dois laisser de côté la peur, ce qui peut demander en soi-même une vie d'apprentissage, et l'auto-critique pour aller au bout de ce que je dois accomplir. Effectivement, la petite voix qui me hurlait à l'oreille que je ne savais pas écrire ni exprimer mes idées correctement je l'entends encore mais aujourd'hui elle murmure alors c'est plus facile de l'ignorer et puis je la crois de moins en moins. J'admet que ce que j'écris n'est pas un chef d'oeuvre mais il faut bien commencer et manquer son coup pour apprendre à faire mieux. Et pour ça il faut agir! J'ai aussi une autre voix qui est plus forte et qui m'encourage à continuer, que c'est ce que je dois faire maintenant. Alors voilà c'est ce que je fais... enfin!
Inspiration, solution, action!
Tuesday, November 18, 2008
Friday, November 7, 2008
Observer au lieu d'absorber
Bon vendredi,
J'ai lu quelque chose de très intéressant cette semaine et je voulais le partager avec vous. Sonia Choquette a écrit un livre intitulé "Trust Your Vibes" et elle explique comment se développer afin d'être plus à l'écoute de notre intuition. Selon elle, nous avons tous un pouvoir de médiumnité il s'agit de l'admettre, de le développer, d'être à l'écoute et de se faire confiance.
J'ai tendance à croire à cette théorie et personnellement ces derniers mois je vis plus souvent en concordance avec mes intuitions et je commence à reconnaître leur manifestation. Depuis que je ne me force plus à essayer d'interpréter chaque événement et que je laisse aller, je suis plus réceptive.
Cependant, il m'arrive d'être tout à fait perdue et de ne pas savoir ce qui se passe avec moi. Je vis des émotions étranges dont j'ai le sentiment qui ne m'appartiennent pas. Il m'est arrivé à quelques reprises dernièrement de me sentir d'une certaine façon (déprimée, triste, manque d'énergie...) et n'avoir aucune raison de me sentir ainsi et dans la journée je reçois un coup de téléphone d'une amie qui me raconte combien elle est déprimée, triste ou manque d'énergie. Dans la même semaine, ça m'est arrivé 3 fois alors après 3 fois, je réfléchis et je me demande si c'est possible que je sois affectée simplement par le fait que les gens vivent certaines émotions et pensent à moi.
Je sais que je dois me protéger quand je rencontre les gens en personne car leur état d'âme peu m'affecter beaucoup mais peuvent-ils aussi m'atteindre même si je ne suis pas en leur présence? Je suis de plus en plus convaincue que c'est le cas.
Cette semaine j'ai lu le chapitre "Observe, don't absorb". Sonia Choquette traitait justement de ce sujet. Elle expliquait aussi que tant qu'on est affecté par les énergies des gens autour de soi on ne pouvait utiliser notre intuition afin de les aider. En fait, il faut être détachée et écouter sans s'engager émotivement... ce que j'ai beaucoup de mal à faire. Cette semaine je devais donc pratiquer à me détacher émotivement et pour ce Sonia Choquette suggérait de regarder des films qui normalement nous touche et se protéger pour ne pas être affectée. J'ai encore beaucoup de chemin à faire car je n'ai pas été capable une seule fois de me pas m'engager émotivement. Je vais continuer à me pratiquer en regardant des films mais mieux encore je vais me pratiquer avec les copines que j'ai ici qui passent à travers des moments difficiles ces temps-ci.
J'avais besoin de lire ce chapitre et je suis heureuse d'avoir écouter mon intuition qui m'a guidé à le lire. Au revoir.
Bon week-end!
J'ai lu quelque chose de très intéressant cette semaine et je voulais le partager avec vous. Sonia Choquette a écrit un livre intitulé "Trust Your Vibes" et elle explique comment se développer afin d'être plus à l'écoute de notre intuition. Selon elle, nous avons tous un pouvoir de médiumnité il s'agit de l'admettre, de le développer, d'être à l'écoute et de se faire confiance.
J'ai tendance à croire à cette théorie et personnellement ces derniers mois je vis plus souvent en concordance avec mes intuitions et je commence à reconnaître leur manifestation. Depuis que je ne me force plus à essayer d'interpréter chaque événement et que je laisse aller, je suis plus réceptive.
Cependant, il m'arrive d'être tout à fait perdue et de ne pas savoir ce qui se passe avec moi. Je vis des émotions étranges dont j'ai le sentiment qui ne m'appartiennent pas. Il m'est arrivé à quelques reprises dernièrement de me sentir d'une certaine façon (déprimée, triste, manque d'énergie...) et n'avoir aucune raison de me sentir ainsi et dans la journée je reçois un coup de téléphone d'une amie qui me raconte combien elle est déprimée, triste ou manque d'énergie. Dans la même semaine, ça m'est arrivé 3 fois alors après 3 fois, je réfléchis et je me demande si c'est possible que je sois affectée simplement par le fait que les gens vivent certaines émotions et pensent à moi.
Je sais que je dois me protéger quand je rencontre les gens en personne car leur état d'âme peu m'affecter beaucoup mais peuvent-ils aussi m'atteindre même si je ne suis pas en leur présence? Je suis de plus en plus convaincue que c'est le cas.
Cette semaine j'ai lu le chapitre "Observe, don't absorb". Sonia Choquette traitait justement de ce sujet. Elle expliquait aussi que tant qu'on est affecté par les énergies des gens autour de soi on ne pouvait utiliser notre intuition afin de les aider. En fait, il faut être détachée et écouter sans s'engager émotivement... ce que j'ai beaucoup de mal à faire. Cette semaine je devais donc pratiquer à me détacher émotivement et pour ce Sonia Choquette suggérait de regarder des films qui normalement nous touche et se protéger pour ne pas être affectée. J'ai encore beaucoup de chemin à faire car je n'ai pas été capable une seule fois de me pas m'engager émotivement. Je vais continuer à me pratiquer en regardant des films mais mieux encore je vais me pratiquer avec les copines que j'ai ici qui passent à travers des moments difficiles ces temps-ci.
J'avais besoin de lire ce chapitre et je suis heureuse d'avoir écouter mon intuition qui m'a guidé à le lire. Au revoir.
Bon week-end!
Monday, November 3, 2008
Un peu plus haut, un peu plus loin...
Bon lundi matin!
Je viens d'écouter cette chanson de Ginette Reno intitulée "Un peu plus haut, un peu plus loin" et comme toujours elle m'a remuée. C'est incroyable la puissance de ce message, elle me fait toujours vivre des émotions assez intenses et me fait beaucoup réfléchir. Quand j'ai besoin de motivation, je l'écoute et la ressent. J'admire les personnes capable de mettre en parole les émotions qu'ils ressentent et d'être assez humble pour nous les partager. Grâce à ces personnes qui ont le courage de se mettre à nu on peut grandir et évoluer.
La signification des paroles de cette chanson s'applique à plusieurs sphères de nos vies: notre vie de couple, les différentes parties de nous-mêmes, les relations que nous entretenons avec des personnes importantes dans notre vie, notre évolution spirituelle, notre désir de se retrouver et de marcher sur notre propre route et non pas sur celle de quelqu'un d'autre.
On ressent tous le désir de changer, la curiosité d'aller voir ce qu'il y a plus loin, plus haut mais en même temps la peur de tomber, de se tromper, de faire un mauvais pas et de souffrir nous retient. Pourtant, un jour ou l'autre, malgré les intempéries et les obstacles, on finit toujours par continuer car le désir d'atteindre le sommet est plus fort. C'est comme un appel étourdissant, un chant de sirènes qui nous ensorcelle et nous attire et c'est tellement fort que c'est ce qui nous aide à nous relever lorsqu'on chute, lorsqu'on fait un mauvais pas. Une fois de nouveau sur nos pieds, on ne peut s'arrêter, il faut qu'on aille au bout. Doucement, on laisse aller ce qui nous attache, on coupe les cordes et on s'assume, on se libère et on continue de monter toujours plus haut jusqu'à atteindre notre objectif jusqu'à réaliser que c'est encore mieux que ce qu'on a pu imaginer. Le chemin en valait la peine.
Vite, on veut le partager à ceux que l'on aime, leur dire vient voir comme c'est beau, majestueux, c'est enivrant, étourdissant. On veut partager cette expérience grandiose avec nos proches mais on ne peut descendre les chercher, ils doivent trouver leur propre chemin et le parcourir à leur rythme. Bien sûr, on éprouve le désir que les gens autour de nous changent au même rythme et dans la même direction que nous mais malheureusement ce n'est pas le cas. Doit-on s'arrêter de changer et de suivre notre coeur pour les attendre ou comme la chanson le dit on continue toujours plus loin, toujours plus haut afin de trouver d'autres chemins? C'est beaucoup plus facile de se laisser porter par la vague et de laisser aux autres porter la responsabilité de notre vie mais oh combien insatisfaisant, ennuyant et frustrant. Il faut un grand courage pour faire le choix aujourd'hui de dire voilà je commence à grimper ma montagne, j'en ai assez d'être dans la vallée et de ne voir que des murs autour de moi, de me laisser porter et de me laisser prendre en charge. Je dois monter et monter, un pas à la fois. Je me dois de trouver mon chemin et de le parcourir.
Quand je grimpe une montagne ici en Arizona je trouve ça fascinant car d'en bas on voit un sommet alors on a cet objectif, on grimpe doucement et arrivé à ce sommet on se rend compte qu'en fait ce n'est qu'un plateau et qu'il y a un autre sommet un peu plus haut. Après une petite pause, on recommence à grimper pour se rendre compte au sommet que ce n'est encore qu'un plateau, qu'il y a encore un autre sommet. C'est comme la vie, toujours un nouveau sommet à atteindre et quand on prend une pause à un des sommets et qu'on regarde ce qu'on a accompli on est fasciné par la vue, notre regard s'étend sur un lointain horizon, c'est magnifique alors on s'imagine la vision qu'on peut avoir un peu plus haut et c'est ce qui nous motive à aller toujours plus haut. Ensuite, arrivé au vrai sommet de cette montagnes on s'aperçoit qu'il y a une plus haute montagne un peu plus loin mais pour atteindre ce sommet il faut redescendre et remonter à nouveau d'en bas et affronter de nouveaux obstacles, de nouveaux défis, de nouvelles chutes.
Ceci dit est-ce que le chemin vaut ce qu'on ressent au sommet? À chacun sa réponse...
Je viens d'écouter cette chanson de Ginette Reno intitulée "Un peu plus haut, un peu plus loin" et comme toujours elle m'a remuée. C'est incroyable la puissance de ce message, elle me fait toujours vivre des émotions assez intenses et me fait beaucoup réfléchir. Quand j'ai besoin de motivation, je l'écoute et la ressent. J'admire les personnes capable de mettre en parole les émotions qu'ils ressentent et d'être assez humble pour nous les partager. Grâce à ces personnes qui ont le courage de se mettre à nu on peut grandir et évoluer.
La signification des paroles de cette chanson s'applique à plusieurs sphères de nos vies: notre vie de couple, les différentes parties de nous-mêmes, les relations que nous entretenons avec des personnes importantes dans notre vie, notre évolution spirituelle, notre désir de se retrouver et de marcher sur notre propre route et non pas sur celle de quelqu'un d'autre.
On ressent tous le désir de changer, la curiosité d'aller voir ce qu'il y a plus loin, plus haut mais en même temps la peur de tomber, de se tromper, de faire un mauvais pas et de souffrir nous retient. Pourtant, un jour ou l'autre, malgré les intempéries et les obstacles, on finit toujours par continuer car le désir d'atteindre le sommet est plus fort. C'est comme un appel étourdissant, un chant de sirènes qui nous ensorcelle et nous attire et c'est tellement fort que c'est ce qui nous aide à nous relever lorsqu'on chute, lorsqu'on fait un mauvais pas. Une fois de nouveau sur nos pieds, on ne peut s'arrêter, il faut qu'on aille au bout. Doucement, on laisse aller ce qui nous attache, on coupe les cordes et on s'assume, on se libère et on continue de monter toujours plus haut jusqu'à atteindre notre objectif jusqu'à réaliser que c'est encore mieux que ce qu'on a pu imaginer. Le chemin en valait la peine.
Vite, on veut le partager à ceux que l'on aime, leur dire vient voir comme c'est beau, majestueux, c'est enivrant, étourdissant. On veut partager cette expérience grandiose avec nos proches mais on ne peut descendre les chercher, ils doivent trouver leur propre chemin et le parcourir à leur rythme. Bien sûr, on éprouve le désir que les gens autour de nous changent au même rythme et dans la même direction que nous mais malheureusement ce n'est pas le cas. Doit-on s'arrêter de changer et de suivre notre coeur pour les attendre ou comme la chanson le dit on continue toujours plus loin, toujours plus haut afin de trouver d'autres chemins? C'est beaucoup plus facile de se laisser porter par la vague et de laisser aux autres porter la responsabilité de notre vie mais oh combien insatisfaisant, ennuyant et frustrant. Il faut un grand courage pour faire le choix aujourd'hui de dire voilà je commence à grimper ma montagne, j'en ai assez d'être dans la vallée et de ne voir que des murs autour de moi, de me laisser porter et de me laisser prendre en charge. Je dois monter et monter, un pas à la fois. Je me dois de trouver mon chemin et de le parcourir.
Quand je grimpe une montagne ici en Arizona je trouve ça fascinant car d'en bas on voit un sommet alors on a cet objectif, on grimpe doucement et arrivé à ce sommet on se rend compte qu'en fait ce n'est qu'un plateau et qu'il y a un autre sommet un peu plus haut. Après une petite pause, on recommence à grimper pour se rendre compte au sommet que ce n'est encore qu'un plateau, qu'il y a encore un autre sommet. C'est comme la vie, toujours un nouveau sommet à atteindre et quand on prend une pause à un des sommets et qu'on regarde ce qu'on a accompli on est fasciné par la vue, notre regard s'étend sur un lointain horizon, c'est magnifique alors on s'imagine la vision qu'on peut avoir un peu plus haut et c'est ce qui nous motive à aller toujours plus haut. Ensuite, arrivé au vrai sommet de cette montagnes on s'aperçoit qu'il y a une plus haute montagne un peu plus loin mais pour atteindre ce sommet il faut redescendre et remonter à nouveau d'en bas et affronter de nouveaux obstacles, de nouveaux défis, de nouvelles chutes.
Ceci dit est-ce que le chemin vaut ce qu'on ressent au sommet? À chacun sa réponse...
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